SOLIDARITE AVEC LES 16 AGENTS NON TITULAIRES DU GIP-FCIP EN VOIE DE LICENCIEMENT

TOUS AU RASSEMBLEMENT MARDI 6 NOVEMBRE 2018 – 13H30

DEVANT LE RECTORAT

L’Etat refuse de verser 800 000€ au GIP-FCIP et pousse à sa dissolution !

En 2007 une lettre d’engagement avait été adressée au GIP-FCIP pour une action qui a été menée mais sans confirmation d’une convention signée. La direction du GIP-FCIP a incité à poursuivre l’action sans aucune garantie. Si l’Etat honorait l’engagement initial, nous n’en serions pas là, le GIP existerait encore en 2019. Le recteur profite de la situation pour accélérer la fusion des deux GIP Caen et Rouen sous forme d’absorption directe.

Une procédure de licenciement non conforme : respect des personnels !

La direction du rectorat fait la preuve d’une grande légèreté en ne convoquant pas une instance obligatoire avant licenciement ; les lettres de licenciement ne semblent même pas conformes à la règlementation. Accompagnement des personnels vous dites ?

Réemploi des personnels : l’Etat doit assumer sa responsabilité

Les personnels licenciés n’ont aucune responsabilité dans le désastre financier qui nous est présenté. Le rectorat doit leur trouver une solution, qui ne leur fera perdre ni revenus ni droits. Le plus rapidement possible.

Pour l’instant, le recteur refuse toute automaticité du réemploi.

400 suppressions d’emplois administratifs en 2019 !

Tout se tient, pour des raisons de baisse des moyens de l’Etat, les administrations cherchent des niches d’économie. La masse salariale des fonctionnaires de l’Etat est la principale source d’économie, au risque de fragiliser ou mettre en grande difficulté le fonctionnement des services. Non aux suppressions d’emplois.

Maintien des académies !

Il n’y aurait pas de fusion des académies, le recteur aurait dû conserver un GIP-FCIP. C’est bien la fusion qui permet la fermeture du GIP de Caen. Obligatoirement, la fusion supprimera les doublons d’emplois.

 

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